Lucas Chevalier
Posté : 06 oct. 2025, 09:43
Foutez la paix à Lucas Chevalier !
On a vraiment l’impression que certains attendaient ce moment pour tomber sur Lucas Chevalier. Depuis le match nul à Lille, les critiques pleuvent : « il nous coûte deux points », « Donnarumma aurait arrêté ça »… Sérieusement ? Stop avec ça. On a remercié Gigio pour ses bons moments, très bien, mais il n’est plus là. Aujourd’hui, le gardien du PSG s’appelle Lucas Chevalier, et il mérite bien plus de respect.
Oui, il n’a pas eu la main assez ferme sur la frappe d’Ethan Mbappé. Oui, ce but égalisateur fait mal. Mais à part ça, il n’a rien eu à faire du match ! Lille n’a quasiment pas existé offensivement, et c’est ce seul tir cadré — dévié, masqué, vicieux — qui a fini au fond. On va donc juger un gardien sur une seule action, un seul ballon glissant, alors que toute l’équipe aurait dû plier le match avant ?
Certains oublient que le rôle d’un gardien, c’est aussi de vivre ces moments de solitude. Chevalier n’a pas eu de parade à sortir, il a été concentré, propre, impliqué dans la relance. Et quand le LOSC trouve enfin une ouverture, on l’enfonce ?
Lucas Chevalier a 23 ans. Il découvre la pression d’un club comme le PSG, où le moindre geste est disséqué, commenté, amplifié. Mais il a déjà prouvé son sang-froid, sa maturité, et surtout son envie de bien faire. Ce n’est pas un ballon mal capté qui va effacer ça.
Qu’on arrête de le comparer à Donnarumma, parce qu’au fond, c’est simple : un gardien, ça prend des buts, mais c’est aussi comme ça qu’il apprend à devenir grand. Alors oui, foutez-lui la paix. Lucas Chevalier va rebondir, et on sait déjà qu’il répondra sur le terrain. Parce que lui, il ne parle pas — il travaille.
On a vraiment l’impression que certains attendaient ce moment pour tomber sur Lucas Chevalier. Depuis le match nul à Lille, les critiques pleuvent : « il nous coûte deux points », « Donnarumma aurait arrêté ça »… Sérieusement ? Stop avec ça. On a remercié Gigio pour ses bons moments, très bien, mais il n’est plus là. Aujourd’hui, le gardien du PSG s’appelle Lucas Chevalier, et il mérite bien plus de respect.
Oui, il n’a pas eu la main assez ferme sur la frappe d’Ethan Mbappé. Oui, ce but égalisateur fait mal. Mais à part ça, il n’a rien eu à faire du match ! Lille n’a quasiment pas existé offensivement, et c’est ce seul tir cadré — dévié, masqué, vicieux — qui a fini au fond. On va donc juger un gardien sur une seule action, un seul ballon glissant, alors que toute l’équipe aurait dû plier le match avant ?
Certains oublient que le rôle d’un gardien, c’est aussi de vivre ces moments de solitude. Chevalier n’a pas eu de parade à sortir, il a été concentré, propre, impliqué dans la relance. Et quand le LOSC trouve enfin une ouverture, on l’enfonce ?
Lucas Chevalier a 23 ans. Il découvre la pression d’un club comme le PSG, où le moindre geste est disséqué, commenté, amplifié. Mais il a déjà prouvé son sang-froid, sa maturité, et surtout son envie de bien faire. Ce n’est pas un ballon mal capté qui va effacer ça.
Qu’on arrête de le comparer à Donnarumma, parce qu’au fond, c’est simple : un gardien, ça prend des buts, mais c’est aussi comme ça qu’il apprend à devenir grand. Alors oui, foutez-lui la paix. Lucas Chevalier va rebondir, et on sait déjà qu’il répondra sur le terrain. Parce que lui, il ne parle pas — il travaille.